ENFIN, un des deux rapports que la profession attendait est sorti ! […]
Pour en prendre connaissance, c’est ICI.
Le SFCD relève en tout premier lieu qu’
» A défaut de cadre juridique mais aussi de réclamations ou d’alertes, les réseaux de soins échappent à tout contrôle de la part des autorités sanitaires, au plan national comme local. Pourtant, ces réseaux opèrent une véritable régulation des parcours de santé : référencement et tarification des produits et des soins, orientation des patients vers des professionnels de santé sélectionnés, contrôle de qualité des produits et des pratiques…. De plus, ils interviennent dans la délivrance d’actes médicaux ou paramédicaux qui comportent, pour certains, des risques sanitaires. Ce désengagement des autorités sanitaires n’est cependant pas propre aux réseaux mais concerne les secteurs optique, auditif et dentaire de façon générale« .
et que :
» En revanche, force est de constater que les réseaux encadrent fortement la relation professionnel de santé/patient et leur liberté respective. Tout l’enjeu est de savoir si cet encadrement est justifié et proportionné, dans l’intérêt du patient/client. Pour cela, un dispositif de suivi et d’évaluation est nécessaire. »
Un rapport à ne pas mettre sous la pile !