Que les patients réclament des centres dentaires low cost pour les implants et prothèses aux honoraires non accessibles en cabinet (libéral ou mutualiste).
Que les ARS ont été plus que bienveillantes pour ces associations loi 1901 à but non lucratif, adossé à des sociétés commerciales…
Que les chirurgiens-dentistes qui y ont exercé ont été peu regardants sur le travail à la chaine et la chaine de stérilisation…
Que des affairistes ont flairé un filon très rentable, assis sur la vulnérabilité des patients…
Bienvenue dans le monde merveilleux de la santé commerciale ! […]
A force de voir les soins dentaires seulement comme un « problème de reste à charge », la seule solution envisagée par les pouvoirs publics, les associations de patients et les patients eux-mêmes, est la « réduction des marges commerciales » des chirurgiens-dentistes.
Le centre dentaire low cost apparaissait donc à tous comme LA solution, après les soins dentaires à l’étranger.
Il n’a pas fallu longtemps pour que ce phantasme s’écroule, laissant sur le carreau des milliers de patients.
LA solution est pourtant connue : pour les soins dentaires, la réponse au reste à charge est une réponse de SANTE.
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